Ce site utilise des cookies pour vous proposer une navigation facile, sécurisée et fonctionnelle. Ces cookies nous permettent également de réaliser des statistiques de visite et de vous donner accès à certains contenus. Vous pouvez choisir quels cookies nous pouvons utiliser.
Pour plus d’informations, consultez notre page sur la protection des données personnelles.
Mesure d’audience : nous utilisons des services de mesure d’audience permettant de générer des statistiques utiles pour nous aider à améliorer les sites
Réseaux sociaux : nous incluons des boutons de partage proposés par les principales plateformes sociales
Outils d’interaction avec les utilisateurs : nous utilisons des outils nous permettant d’interagir avec vous (pop-up, chat, etc …)
(Par Geneviève DE LACOUR, aux journées de l'URBH)
AGEN, 7 octobre 2021 (APMNews) - À l'occasion des journées d'études de l'Union des responsables de blanchisserie hospitalière (URBH), à Agen, Marc Drezen, du groupement de coopération sanitaire (GCS) Blanchisserie toulousaine de santé, et Serge Gibert, de la blanchisserie inter-hospitalière de Seine-et-Marne (BIH 77), ont présenté un bilan de la crise Covid, après avoir enquêté auprès de leurs collègues, responsables de blanchisseries hospitalières.
"Blanchisseur hospitalier est un métier discret et très peu connu. Or, pendant cette crise sanitaire, les blanchisseries hospitalières ont été mises en avant, avec de nombreux articles dans la presse, et globalement ça a été très apprécié par les agents", a souligné Marc Drezen, responsable de la blanchisserie du CHU de Toulouse, à l'occasion des journées de l'URBH, qui se sont déroulées du 29 septembre au 1er octobre à Agen.
Il a ensuite présenté les témoignages de plusieurs responsables de blanchisserie. Ainsi, Arnaud Paty, responsable du GCS de la blanchisserie interhospitalière du pays de Vitré (Ille-et-Vilaine), a fait intervenir la cellule d'hygiène de l'hôpital afin de rassurer les équipes travaillant au linge sale. "Au secteur linge sale, c'était compliqué car il y avait beaucoup d'inconnues vis-à -vis de ce virus et donc beaucoup d'inquiétudes", a fait remarquer Marc Drezen. Ainsi, en zone sale, le port de gants de soins et de gants de tri, d'un masque chirurgical dans un premier temps puis d'un masque FFP2, de lunettes de protection, d'une charlotte et d'une surblouse était exigé. Les fréquences de désinfection des surfaces ont été au