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PARIS, 2 juillet 2021 (TecHopital) - Il faut être sobre dans le choix des solutions à mettre en œuvre, en réfléchissant aux coûts d'exploitation des futurs bâtiments, a recommandé Elisabeth Beau, ancienne directrice du CHU de Dijon et membre du conseil scientifique du Cnis, en conclusion d'une table ronde sur "l'immobilier en santé face au changement", organisée par l'Anap.
L'Agence nationale d'appui à la performance des établissements de santé et médico-sociaux (Anap) organisait le 30 juin et le 1er juillet une conférence et des ateliers sur le thème: "Crise sanitaire, crise climatique: l'immobilier en santé face au changement".
Elisabeth Beau, membre du conseil scientifique du conseil national d'investissement en santé (Cnis) est intervenue en conclusion de la première table ronde en tant qu'ancienne directrice du CHU de Dijon et du centre hospitalier (CH) de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis) plutôt qu'en tant que membre du conseil scientifique du Cnis, constitué en avril, car "les travaux ont commencé il y a seulement quelques semaines et nous n'avons pas encore construit une doctrine", a-t-elle indiqué.
Il est souhaitable que dans les projets architecturaux qui vont sortir de terre ces prochaines années "nous ayons des structures adaptables, des chambres transformables, des unités de soin continu qui puissent devenir des services de réanimation, etc."
En ce qui concerne la montée en puissance de l'ambulatoire, "au-delà de la crise sanitaire, la transformation en cours de l'hospitalisation complète vers la prise en charg
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