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La grève engagée depuis le 18 mars par le personnel soignant du service d'accueil des urgences de l'hôpital Saint-Antoine, à Paris XIIe (Assistance publique-hôpitaux de Paris, AP-HP), pour obtenir de meilleures conditions d'exercice, s'étend à d'autres sites, a fait savoir le syndicat SUD Santé AP-HP dans un communiqué daté du 8 avril.
Alors que le personnel soignant du service d'accueil des urgences de l'hôpital Saint-Antoine est en grève depuis trois semaines, le syndicat SUD santé de l'AP-HP "a déposé des préavis pour les services des urgences des hôpitaux de Tenon, Saint-Louis, la Pitié-Salpêtrière et Lariboisière", informe l'organisation syndicale. La grève dans ces services doit débuter "dimanche 14 avril à minuit", a précisé SUD à APMnews (site du groupe d'information APM International, dont fait partie TecHopital).
"Les revendications, au-delà de quelques spécificités locales, portent partout sur la question des ressources humaines d’une part, de la sécurisation des lieux de travail, et la reconnaissance salariale de la pénibilité d’exercice d’autre part."
Les agents réclament "la création de poste infirmier-e et aide-soignant-e, le remplacement systématique des congés maladie et de maternité" et "des locaux sécurisés qui garantissent leur intégrité physique et morale dans l’exercice de leur métier".
Le personnel soignant demande également "une augmentation de salaire à hauteur de 300 € nets mensuels", qu'ils "justifient par les conditions particulièr