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PARIS, 13 janvier 2020 (TecHopital) - Face aux problèmes récurrents de carences d'ambulance contraignant les établissements de santé à faire appel aux services départementaux d'intervention et de secours (Sdis), comme dans les Haut-des-France, une association d'ambulanciers fustige le défaut d'organisation des transports sanitaires au niveau régional et la faiblesse de la prise en charge des ambulances privées par l'assurance maladie.
"Les entreprises de transport sanitaire sont rémunérées par la sécurité sociale à partir d'un barème resté inchangé depuis 2008. Cette rémunération de 72 € ne comprend pas le temps passé sur place, ni le refus de transport, que le Sdis facture par ailleurs au conseil départemental. Il reçoit également une indemnité de 124 € par le Samu en cas de carence d’ambulance", a expliqué le 10 janvier à TecHopital Ferdinand Le Franc, coordinateur de l'Organisation des ambulanciers techniciens préhospitaliers (OATPH).
"Le sujet des carences ambulancières est complexe et multifactoriel", note l'agence régionale de santé (ARS) Hauts-de-France dans un courrier daté du 3 décembre 2019 adressé aux transporteurs sanitaires du Nord. Elle relève, parmi les facteurs de carence, "le temps d'attente des ambulanciers dans les services des établissements de santé, ainsi que leur sollicitation pour le brancardage des patients".
L'OATPH souligne ainsi que cette différence de traitement peut expliquer en partie l'indisponibilité des ambulanciers privés.
"Mais le facteur financier n'est pas le seul" Ã prendre en compte au sujet des carences, affirme le coordinate
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