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PARIS, 3 juillet 2020 (TecHopital) - Le Conseil national professionnel d’anesthésie-réanimation et médecine péri-opératoire (CNP-ARMPO) souligne "l'extrême fragilité des ressources en infirmiers compétents en réanimation" qui pourrait compromettre l'armement effectif de 12.000 lits de réanimation comme le prévoit le ministre des solidarités et de la santé.
Olivier Véran a donné des informations concernant la préparation en cas d’arrivée d’une seconde vague de Covid, dans une interview au quotidien Le Monde publiée dans son édition datée du 25 juin.
Pour les anesthésistes, le plan d’Olivier Véran sur les soins critiques en prévision d'une seconde vague est "fragile".
Les mesures leur paraissent "cohérentes" et, si elles sont effectives, "seraient en mesure de sécuriser la prise en charge des patients les plus graves en réanimation".
Mais le collège des anesthésistes se demande si l'annonce de l’armement a minima de 12.000 lits de réanimation assurant l’admission de 30.000 malades est "réaliste".
C'est "un objectif tout à fait crédible", puisque "lors de la première vague, les établissements de santé publics et privés confrontés à un afflux massif et prolongé de patients graves ont su porter le capacitaire des lits de réanimation de 5.000 à plus de 10.000 lits".
Pour y parvenir, les secteurs de soins intensifs, les unités de surveillance continue, les salles de réveil et les blocs opératoires ont été transformés "de manière pragmatique en véritables secteurs de réanimation q